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(18-11-2016, 02:33:04)RedThunder a écrit : [ -> ]Je me permet juste la petite citation " On imagine en effet assez mal les bus, pickups et autres poids lourds passer à l'essence, en attendant que d'autres motorisations ne voient le jour pour ces véhicules. ".. Ok et le GPL dans tout ça il est inexistant ?

Surtout qu'au Japon les bus (urbains) et taxi roulent déjà au GPL depuis des décennies....
C'est officiel, Toyota se lance dans l'auto électrique

Comme annoncé récemment par la rumeur, Toyota va bien se lancer dans le développement de voitures électriques. Le constructeur a annoncé ce matin la création d'une équipe dédiée à la conception de cette nouveauté pour le géant nippon qui annonçait jusqu'ici faire l'impasse sur l'électrique.


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Voilà un retournement de veste plutôt inattendu. Toyota, spécialiste de l'hybride depuis la fin des années 90, a longtemps affirmé que l'électrique ne serait pas au programme. Le constructeur avait d'ailleurs lancé un nouveau projet d'auto à pile à combustible matérialisé par la Mirai, cette berline commercialisée dans certains pays qui reste malgré tout très inaccessible pour la plupart des acheteurs.

Mais alors que nous pensions que Toyota allait intensifier ses efforts sur l'hydrogène, voilà que la marque annonce un développement inattendu : celui d'une auto électrique. Toyota a confirmé ce matin la création d'une équipe de développement dédiée à la voiture à batteries. Toyota explique quand même que l'hydrogène n'est pas abandonné, mais que ce n'est pas forcément le "bon moment" pour le lancer en masse.

Ce choix n'est pas un hasard puisque c'est dû à la volonté de certains pays de favoriser la voiture électrique, notamment en Chine où elle devrait prendre énormément de place à l'avenir. Et quand on sait que Toyota a du retard en Chine sur ses principaux concurrents, à commencer par Volkswagen, on se dit que ce rebondissement est totalement calculé.

Source Caradisiac
Toyota : un projet de division sport

Toyota envisage de créer sous la bannière de son équipe de compétition Gazoo Racing une nouvelle branche dédiée à la production de voitures de sport à l'instar de BMW M et Mercedes-AMG.

[Image: toyota_86_grmn.jpeg]

Le programme compétition de Toyota investit aujourd'hui différents championnats à l'échelle internationale : WRC, WEC, Rallye Dakar ou encore 24 Heures du Nürburgring. En plus de cet engagement, des séries limitées de véhicules Toyota aux couleurs de l'écurie de course sont également commercialisées au Japon depuis quelque temps. Ces éditions GRMN (Gazoo Racing Masters of Nürburgring) comprennent notamment une 86 plus puissante, une Mark X à toit en carbone ou une Vitz turbo.

Koei Saga, directeur technique de Gazoo Racing et numéro 1 du développement moteur chez Toyota, souhaite désormais voir plus grand avec son projet d'une division affectée à la voiture de sport : "En Europe, le challenge s'annonce relevé car la concurrence est importante, sans parler de l'aspect financier qui entre aussi en jeu. Néanmoins, je travaille dur sur ce dossier pour que l'on puisse avoir une marque comme [BMW] M."

Il ne nous reste plus qu'à croiser les doigts pour que ce projet se concrétise ! D'autant plus qu'avec l'arrivée prochaine de la nouvelle Supra, les perspectives d'une telle marque sont particulièrement alléchantes !

Source Autoworks Blog
Toyota devient fournisseur du comité olympique

Toyota fait une percée dans le monde du sport olympique avec un accord conclu entre la marque et le CIO (comité international olympique) afin de fournir aux membres des différentes délégations des véhicules propres et connectés, ainsi que d'autres solutions de mobilité.


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Toyota a réalisé un sacré coup médiatique il y a quelques mois en signant un accord avec le CIO (comité international olympique) pour devenir sponsor officiel et fournisseur de véhicule. Cet accord a toutefois coûté assez cher à Toyota qui est devenu la société ayant dépensé le plus d'argent en sponsoring ces derniers mois, avec un partenariat estimé à 1,63 milliard de dollars.

Aujourd'hui, cet échange se concrétise par la présence de Toyota en Suisse, dans le fief du CIO, pour la remise des clés d'une flotte de véhicules hybrides Toyota.

"À partir de 2017, Toyota fournira au CIO, aux Comités organisateurs respectifs des Jeux Olympiques et aux Comités Nationaux Olympiques (CNO) du monde entier différentes solutions de mobilité durable qui favoriseront la sécurité et l’efficacité des transports. Il s’agira notamment de systèmes de transports intelligents, de systèmes de gestion de la circulation urbaine et de systèmes de communication entre véhicules. Cet accord de partenariat entre Toyota et le CIO s’appliquera jusqu’à fin 2024 dans la catégorie mobilité, ce qui recouvre les véhicules ainsi que les solutions et prestations de mobilité."

Sur les photos, nous voyons déjà une Prius et un C-HR hybride, mais Toyota ne sera pas la seule marque à doter les flottes du CIO puisque nous y retrouverons également Lexus.

Source Caradisiac
États-Unis : au tour de Toyota d'être menacé par Trump

La General Motors a été pointée du doigt et Ford a pris les devants pour éviter les foudres du futur Président des États-Unis. Donald Trump ne prendra ses fonctions que le 20 janvier prochain, mais il rappelle déjà au souvenir des constructeurs automobiles son programme dont une partie fustige l’existence d’un accord de libre-échange avec ses voisins canadiens mais surtout en l’occurrence mexicains. Après les deux marques américaines précitées, c’est maintenant au tour de Toyota d’être sur la sellette.


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La General Motors, Ford, et maintenant Toyota. Donal Trump avait promis durant sa campagne de remettre en cause des traités commerciaux comme l'Alena, un accord signé en 1994 qui institue une zone de libre-échange entre les États-Unis, le Canada et le Mexique. Il tient ses engagements en prenant l’industrie automobile à témoin. Il lui est reproché de produire à bas coûts de l'autre côté de la frontière, ce qui pénaliserait l'emploi aux États-Unis.

Donald Trump promet à Toyota des représailles douanières si le constructeur automobile japonais construisait comme prévu une usine au Mexique pour fabriquer des voitures destinées au marché américain. « Pas question ! Construisez des usines aux États-Unis ou payez d'importantes taxes à la frontière », a tweeté le président élu. Un message déjà distillé quelques jours plus tôt à l'américain General Motors.

Dans son message, le futur président américain fait référence à une « nouvelle usine » que le groupe japonais projetterait de construire à « Baja, Mexico » pour y fabriquer des modèles Corolla. Le genre d’initiative à laquelle a renoncé le groupe américain Ford qui a choisi d’un coup d’un seul d’investir dans une installation déjà existante au Michigan.

"Nous étudierons nos options quand nous verrons quelle politique le nouveau président choisit", a répondu le PDG de Toyota, Akio Toyoda, lors d'une rencontre jeudi à Tokyo avec des professionnels du secteur. Quelque 100 000 pick-ups et plates-formes sortent chaque année de l'usine Toyota de l'Etat mexicain de Basse-Californie, une production que le constructeur veut porter à 160 000 unités d'ici 2018. Il construit également une usine à Guanajuato dont la capacité annuelle sera de 200 000 unités lorsqu'elle ouvrira en 2019. Si elle ouvre…

Source Caradisiac
Toyota : l'hybride représentera 60 % des ventes en France en 2017

Toyota ne vole pas son titre de roi de l'hybride. L'année dernière, la moitié de ses autos vendues dans l'Hexagone combinait essence et électricité. C'est un record pour une marque généraliste, qui montre que l'on peut survivre en se passant du diesel.


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Le bilan des ventes 2016 a été marqué par le déclin du diesel. Si les ventes des véhicules fonctionnant au gazole diminuent depuis 2012, la chute s'est vraiment accélérée au cours des derniers mois. L'année dernière, la part de marché du diesel est tombée à 52 %.

Mais un constructeur n'est pas effrayé par ce désamour : Toyota, qui est déjà bien en dessous de ce niveau. Dans la présentation de ses résultats 2016, le japonais indique ainsi que seulement 15 % de ses immatriculations de voitures particulières en France concernaient des autos badgées D-4D. Vous vous doutez de la raison : une prédominance de l'hybride dans les ventes de la firme. L'association essence-électricité a représenté 50 % des livraisons. Ce n'était que 10 % en 2011.

85 % des Auris sont hybrides

54 % des Yaris immatriculées dans l'Hexagone combinent deux moteurs. Pour l'Auris, l'hybride est choisi dans 85 % des commandes ! Et Toyota prévoit déjà que l'hybride va représenter en 2017 60 % de ses ventes chez nous, grâce notamment à l'arrivée du crossover C-HR.

En 2016, Toyota a livré en France 77 696 autos, en hausse de 8,3 % par rapport à 2015. Une belle performance dans un marché en progression de 5,1 %, qui prouve que l'on peut conserver une bonne place dans l'Hexagone en se passant du diesel. Le japonais devrait faire l'impasse sur le gazole dans les années à venir, comme c'est déjà le cas pour sa filiale haut de gamme Lexus.

Source Caradisiac
Toyota : 10 milliards de dollars d'investissement annoncés

On va finir par croire que la bonne vieille méthode consistant à jouer le protectionnisme et la préférence nationale, que l’on s’était persuadés diluée dans la mondialisation des échanges, est toujours une recette efficace. Il aura suffi au futur Président des États-Unis Donald Trump d’envoyer 140 caractères sur tweeter au sujet des délocalisations des productions automobiles au Mexique pour faire revenir aux États-Unis des milliards d’investissements avec des emplois pour les Américains à la clé. Ford a inauguré le bal suivi par Fiat-Chrysler et voilà qu’a présent Toyota fait ses annonces.


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C’est au moment de l’ouverture du Salon de l’automobile de Detroit que le constructeur japonais a rassuré Donal Trump sur ses intentions. Officiellement, Toyota précise fermement que l’investissement annoncé n’a rien à voir avec les menaces de sanctions douanières pour production au Mexique formulées par le successeur de Barak Obama. Cependant, la conjonction de temps entre les tweets de l’un et la politique développée de l’autre ne peut que pousser au rapprochement.

De quoi s’agit-il ? De la révélation par Toyota d’un investissement de dix milliards de dollars aux États-Unis au cours des cinq prochaines années. On se souviendra que cette somme est à peu près la même que celle injectée au cours des cinq années précédentes. Un parallèle que n’a pas manqué de faire Jim Lentz, le directeur général de la filiale nord-américaine du constructeur automobile japonais.

Un Jim Lentz qui marche sur une fine pellicule de glace en commentant ce sujet brûlant. Il doit ménager la future administration américaine avec ce plan au moment de la sortie d’une nouvelle Camry qui figure depuis des années au palmarès des meilleures ventes sur le marché américain.

Mais il doit aussi montrer que la politique de Toyota est indépendante et ne se laisse influencer que par ses intérêts : "nous devons gérer notre entreprise en tant qu'entreprise mondiale. Je dois m'assurer que nous sommes compétitifs" a ainsi commenté le responsable tentant de faire ainsi la synthèse : " tout le monde est d'accord avec les objectifs de Trump de stimuler l'industrie et l'emploi aux États-Unis en partie parce que cela nous aide à vendre plus de voitures".

Les dix milliards de dollars évoqués seront entre autres utilisés pour le nouveau siège nord-américain de Toyota au Texas, actuellement en construction, ainsi que la modernisation et l'agrandissement des usines du groupe. Toyota, qui emploie actuellement 40 000 personnes aux États-Unis, a créé plus de 5 000 emplois dans le pays au cours des cinq dernières années, a précisé Jim Lentz.

Source Caradisiac
Vers une alliance entre Toyota et Suzuki

C’est peut-être un conseil d’administration historique que va vivre aujourd’hui Toyota. Au terme de ce dernier, il pourrait être en effet scellé une alliance avec le compatriote Suzuki. Un rapprochement qui s’inscrit dans le mouvement de recomposition de l'industrie automobile japonaise. Car cette alliance attendue pourrait ensuite conduire à un partenariat capitalistique.


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La rumeur est insistante. Toyota, du haut de ses 10 millions de voitures écoulés par an, serait intéressé par une alliance avec son compatriote Suzuki qui en est à 2,8 millions d’automobiles vendues annuellement. L’objectif serait de développer les technologies et l'approvisionnement de pièces.

Suzuki est aussi un spécialiste des modèles de petite-cylindrée qui plaisent particulièrement au marché indien prometteur. En ce sens, la marque d’Hamamatsu ferait cause commune avec Daihatsu, ancré dans le même segment et déjà dans le giron de Toyota.

Mais l’alliance supposée serait plutôt destinée à prendre en compte l’arrivée de nouveaux acteurs de l'univers technologique dans la perspective de l'avènement de la conduite autonome. Les technologies d'information et l'environnement seraient les priorités.

Côté Suzuki, on est ouvert à ce type de rapprochement, surtout depuis la fin des relations avec Volkswagen en 2015. "Nous devons partager nos compétences, sinon dans la conjoncture actuelle, nous ne pourrons pas survivre", a ainsi affirmé Osamu Suzuki, le patriarche du groupe.

On rappellera que le paysage japonais de l’automobile n’a de cesse d’évoluer ces derniers temps avec, notamment, Nissan, partenaire du français Renault, qui s’est emparé de 34 % d’une Mitsubishi Motors en proie à de sérieuses difficultés depuis la révélation d’une fraude sur sa façon d’expertiser les émissions polluantes de ses modèles.

Source Caradisiac
Toyota : 10 millions d'hybrides sur les routes

L'hybride fête cette année ses vingt ans chez Toyota, et cela tombe bien, la marque annonce une autre barrière symbolique avec les dix millions de ventes en hybride depuis la commercialisation de la première Prius en 1997.


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Contrairement à ce que l'on pourrait imaginer et ce que beaucoup pensent, la Prius n'est pas le tout premier véhicule hybride assemblé et vendu par Toyota puisque la marque japonaise avait tout d'abord lancé au printemps 1997 le minibus Coaster hybride avant de démarrer la commercialisation de la première génération de Prius en décembre 1997.

Depuis, l'hybride a fait du chemin chez le constructeur japonais et a envahi toute la gamme (ou presque), en passant par Lexus. En vingt ans de carrière, l'hybride s'est révélé comme un succès industriel pour Toyota qui vient officiellement de franchir les 10 millions de véhicules hybrides vendus à travers le monde, un nombre symbolique mais représentatif de l'importance de cette technologie au sein du groupe.

Ce qui est intéressant de noter est la progression exponentielle de l'hybride puisque les dix millions ont été franchis seulement neuf mois après les 9 millions d'hybrides. Une croissance qui s'explique par les normes environnementales toujours plus sévères et par des produits de plus en plus accessibles. Et vu le succès du C-HR auprès du public ces derniers temps, il y a de fortes chances que Toyota continue sur sa lancée.

Source Caradisiac
Toyota dévoile un poids lourd à pile à combustible

Le travail concernant les futures motorisations ne porte pas uniquement sur l'automobile comme le démontre Toyota qui dévoile une pile à combustible spécialement pensée pour le transport de marchandises. L'autonomie est encore un peu faible (un peu plus de 300 km), mais au moins, ce poids lourd se passe de batteries.


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La pile à combustible est un domaine pour l'instant très expérimental pour les rares constructeurs qui ont tenté l'aventure. Honda et surtout Toyota font certainement parti des marques qui s'y sont le plus investi, et Toyota présente justement un projet intéressant baptisé "Portal" qui a pour but d'appliquer la pile à combustible et l'hydrogène dans le transport de marchandises.

Toyota a simplement utilisé deux piles à combustible, qui sont celles que l'on trouve dans les Mirai, associées à une petite batterie de 12 kWh pour stocker une partie de l'énergie. Le seul moteur électrique produit 679 ch et 1794 Nm de couple, largement de quoi tracter les 38 tonnes de l'engin. Pour l'instant, seule l'autonomie est plutôt limitée avec 320 km, mais ce projet a pour but de promouvoir l'hydrogène dans d'autres domaines que l'automobile, et Toyota croit toujours aussi fort en cette technologie pour l'avenir. Il faut dire que le bénéfice est énorme : le chauffeur poids-lourd aura toujours à faire son plein comme avant, mais les émissions (à l'usage) sont nulles ou presque.

Il reste malheureusement toujours un point noir à l'hydrogène : sa production, toujours polluante et complexe. Nul doute que les industriels travailleront d'arrache-pied dans les années à venir pour trouver une solution à cela, d'autant plus qu'un hydrogène relativement "propre" permettrait alors d'annuler le seul gros inconvénient de ce carburant qui pourrait enterrer la voiture électrique à batterie.

Source Caradisiac
Crash-test : Toyota Corolla 1998 vs 2015

Nous avons déjà vu des crash-tests mettant en scène deux autos ayant plusieurs générations d'écart. Cette fois, c'est la voiture la plus vendue de l'histoire, la Toyota Corolla, qui s'y colle. Un modèle de 1998 affronte un autre de 2015 avec un résultat qui est tout sauf surprenant.


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Il est primordial de le rappeler, la baisse constante des morts sur la route ces dernières années est avant tout due à la progression fulgurante des sécurités active et passive à bord de nos automobiles. Bien plus que les lois répressives où les contrôles, ce sont elles qui ont permis de sauver des milliers de vies, et s'il fallait encore s'en convaincre, voilà une vidéo qui remet les choses en perspective et démontre les efforts faits par les constructeurs, équipementiers et fournisseurs dans l'ascension technologique de la sécurité des transports personnels.



Dans ce crash-test réalisé par l'ANCAP, qui est l'organisme responsable des tests en Océanie et plus particulièrement en Australie, nous retrouvons une Toyota Corolla de 1998 face à un modèle de 2015. 1998, ce n'est pas loin, et c'est même hier à l'échelle de l'automobile, et pourtant, les dégâts subits par cette pauvre Corolla sont considérables. Le berceau moteur est rentré dans l'habitacle, le conducteur s'est pris de plein fouet le volant et la colonne de direction et la cellule de protection de cette Corolla est inexistante, en comparaison du modèle de 2015 qui a parfaitement protégé ses occupants.

Cela nous rappelle en tout cas que la sécurité se rapporte toujours aux mêmes choses : des structures aux matériaux toujours plus avancés (métaux plus légers mais plus résistants, déformables pour la partie avant) et une sécurité passive efficace (airbags nombreux).

Source Caradisiac
Toyota croit à la voiture volante

Mais quelle mouche a donc piqué le géant de l’automobile Toyota ? Au vu de sa puissance, on pourrait penser qu’il garde fermement les pieds sur terre. Et pourtant, c’est le nez en l’air et le regard dans les nuages qu’il voit l’avenir. La DS de Fantômas et le taco de chitty chitty bang bang ne s’en doutaient pas, mais ils étaient les précurseurs et les inspirateurs de ce que des gens très sérieux envisagent comme une prochaine étape du transport : la voiture volante.


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Ce projet de la voiture volante est pris suffisamment au sérieux pour avoir déjà réuni la somme rondelette de 345 000 euros. Plus exactement, c’est un groupe de jeunes ingénieurs réunis depuis 2012 sous le label Cartivator qui a convaincu quinze compagnies du groupe Toyota, dont le constructeur lui-même. Pour quel projet ? Allumer la flamme des Jeux olympiques de Tokyo, en 2020, à bord d’une voiture volante.

Le modèle a déjà son nom : SkyDrive. D’ici à 2018, le premier prototype sera une réalité. Le premier d’une génération d’engins volants qui offrira le ciel à n’importe qui voudra voler. Nous serons alors en 2050. Les transports urbains bondés, les bouchons interminables sur les routes seront alors de vieux et douloureux souvenirs grâce à des petites voitures volant à dix mètres du sol et capables de décoller et d'atterrir à la verticale, sans avoir besoin de pistes spéciales.

SkyDrive sera, d'une longueur de 2,90 m sur 1,30 m de large, pourra voler à 100 km/heure, et rouler sur trois roues à 150 km/h, avec à son bord un unique conducteur pilote. Mais c’est aussi un projet en pleine compétition avec ceux d’Uber, de Google et d’Airbus. Des gens très sérieux on vous dit !

Source Caradisiac
Toyota et ses salaires : "nous devons passer à l'attaque"

C’est un acteur majeur du monde de l’automobile mais pour autant, il n‘est pas serein face aux bouleversements qui sont promis dans ce secteur d’activité. Il s’agit de Toyota qui a fait de sa dernière assemblée générale un appel à la mobilisation pour partir conquérir ce nouveau front. Un pari technologique, certes, mais aussi humain. Et le talent se paye. Une approche intéressante qui tombe en pleine polémique sur les émoluments accordés à Carlos Ghosn…

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Lors de sa dernière assemblée générale, le patron de Toyota est monté au créneau pour prendre date face aux défis qui attend son entreprise et tout un univers automobile en pleine mutation : « l'industrie automobile est aujourd'hui confrontée à de grands changements, et ce que nous pensions être loin dans le futur arrivera peut-être demain ». Akio Toyoda a ainsi été limpide devant plus de 5 000 actionnaires à Toyota City, dans la région de Nagoya (centre).

Le même patron a conclu : « c'est pourquoi nous devons passer à l'attaque ». Une sémantique offensive qui se traduira notamment dans les faits par des fusions et acquisitions pour accélérer l'innovation et prendre ainsi la tête d’une course technologique vers la conduite autonome et les véhicules non polluants.

Certes, mais pas seulement. Akio Toyoda a aussi parlé d’un sujet tabou : celui de la rémunération des talents à embaucher et à fidéliser pour mettre cette politique ambitieuse en œuvre. Et parler de salaires élevés, en ce moment, c'est assez courageux. On rappellera que chez le concurrent Renault-Nissan, le sujet est d’une brûlante actualité, avec les émoluments du patron Carlos Ghosn.

Mais chez Toyota, on aime à rappeler que l’on n’a jamais attiré les mouches avec du vinaigre, selon l’expression populaire consacrée. De fait, le constructeur japonais va élever le plafond des salaires accordés à ses dirigeants afin d'attirer davantage de talents étrangers. Plus exactement, l'objectif est d'avoir plus de flexibilité dans la rémunération de ses dirigeants étrangers.

Toyota a ainsi relevé que le risque des fluctuations des devises était un obstacle au paiement approprié des salaires et primes des membres étrangers du conseil d'administration. On note, au passage, l’insistance de Toyota à vouloir sortir d’une culture japonaise dans le choix de ses pontes. Si l'on excepte l'Américain Mark T. Hogan, qui siège en tant que membre extérieur, le constructeur japonais compte seulement un étranger dans son organe de direction : le Français Didier Leroy, qui occupe le poste de vice-président exécutif, directeur de la compétitivité et de la planification.

Or, c’est le même Leroy qui serait un premier choix pour une éventuelle succession de Carlos Ghosn…

Source Caradisiac
Ventes mondiales : Toyota en leader dans 49 pays

Toyota a longtemps dominé le classement des ventes mondiales, mais l'an dernier, le groupe nippon s'est fait voler la vedette pour une petite longueur d'avance par Volkswagen. Au niveau géographique, en revanche, il n'y a pas débat : Toyota écrase la concurrence dans 49 pays.


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La particularité de Toyota est d'être présent partout, tout en réussissant à avoir de bons résultats sur tous les continents. Une situation de rêve qu'aimeraient avoir bien des groupes automobiles, d'autant plus que Toyota, à la différence du groupe Volkswagen, ne possède pas énormément de marques.

Malgré la popularité au niveau mondial de Toyota, l'an dernier, c'est le groupe Volkswagen qui a terminé en tête des ventes globales, pour quelques dizaines de milliers d'exemplaires. Si l'on regarde la situation d'un point de vue géographique, la donne est bien différente puisque Toyota domine clairement la planète.

Cette illustration montre quel est le premier constructeur, en termes de volumes de ventes, dans chaque pays. Toute l'Asie orientale et centrale est sous la main-mise de Toyota, tout comme une bonne partie de l'Afrique, de l'Amérique centrale et de l'Amérique du sud. Ajoutez à cela une belle position sur le marché nord-américain, et vous obtenez un groupe qui garde une solide présence au niveau mondial.

Source Caradisiac
Seat ne compte pas pour VW ?
pour la répartition géographique sur l'image ils ont laissé les marques tel quel si tu regarde tu retrouve aussi Skoda pour VAG.
Mais ça serait intéressant de voir la carte avec seulement les groupes autos (GM,VAG,FCA,renault ect) ça serait plus parlant.


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Toyota va produire des voitures électriques en Chine

La Chine est le premier marché mondial pour l’automobile. Mais elle ne veut plus se contenter d’acheter des voitures. Elle veut imposer sa vision de celle-ci et, au vu de ses impératifs, elle a décidé qu’elle serait électrique ou ne serait pas. Une prise de position qui n’a pas fait que des heureux parmi les constructeurs qui élaborent une stratégie pour contrer cette volonté. Enfin, pas tous. Toyota, par exemple, a décidé de relever le gant. Le Japonais promet ainsi de construire bientôt en Chine de voitures électriques.


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La bataille pour la voiture électrique en Chine a commencé. Et elle sera sans merci. Elle sera autant politique qu’industrielle. Le pragmatique Toyota l’a bien compris en annonçant qu’il devrait commencer la production en série de ses voitures électriques en Chine dès 2019. Le modèle sera basé sur son SUV C-HR et destiné uniquement au marché chinois. Une stratégie révélée par le journal Asahi.

Le nombre de véhicules assemblés sera décidé après prise en compte de la réglementation et des subventions. La production annuelle pourrait commencer par plusieurs milliers de voitures. "Nous allons lancer des véhicules électriques en Chine dans quelques années. Nous ne parlons pas cependant des futurs projets de production", a déclaré Ryo Sakai, porte-parole de Toyota. En tout cas, la firme japonaise a pris date.

Source Caradisiac
Toyota prépare une électrique à recharge rapide

Spécialiste des hybrides, Toyota est en revanche très en retard en matière d'électriques. Il faudra attendre encore quatre ou cinq ans pour voir arriver un véhicule branché dans sa gamme. Mais il devrait marquer les esprits.


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Toyota, le plus écolo des constructeurs ? On serait tenté de dire oui car le japonais est le roi incontesté de l'hybride : ce type de motorisation a représenté 40 % de ses immatriculations en Europe au premier semestre 2017, et même 60 % en France. Toyota propose aussi une berline à pile à combustible, la Mirai (mais vendue au compte-gouttes sur le Vieux Continent). En revanche, côté 100 % électrique, c'est le désert chez Toyota et la firme se montre peu loquace sur ses projets.

Mais selon le quotidien japonais Chunichi Shimbun, le constructeur planche actuellement sur une voiture électrique, qui devrait être prête d'ici 2022. L'échéance a l'air lointaine mais Toyota semble vouloir prendre son temps pour mettre au point un véhicule qui propose à la fois une belle autonomie et un temps de chargement réduit. Le journal, dont les infos sont relayées par Reuters, indique ainsi que le plein d'électricité pourrait se faire en quelques minutes !

Voilà qui est très intéressant puisque c'est le dernier gros obstacle à surmonter pour rendre les voitures électriques intéressantes au plus grand nombre. Une fois la batterie vidée, on ne s’arrêterait qu'un court instant dans une station, comme pour remplir un réservoir d'essence. Actuellement, côté autonomie, les meilleures autos électriques restent les Tesla, avec en valeur normalisée jusqu'à 640 km pour une Model S, soit quasiment 500 km en conditions réelles. Le constructeur propose un réseau de « superchargeurs », mais il faut encore 30 minutes pour gagner environ 270 km d'autonomie.

Source Caradisiac
Microsoft et Toyota rendent le WRC interactif avec le public

Microsoft et Toyota se sont récemment associés pour permettre au public présent sur les spéciales de WRC de vivre la course d'une autre manière, plus "connectée". Il suffira en effet de prendre une photo d'une des Yaris, puis de se rendre ensuite dans un endroit spécial pour récupérer le passage vidéo filmé au même instant par l'auto.


[Image: S0-microsoft-et-toyota-rendent-le-wrc-in...524603.jpg]

Toyota et Microsoft ont récemment collaboré pour proposer aux spectateurs du WRC le "Connected Yaris WRC Project". Dans une volonté de rendre le WRC plus connecté avec ses fans, Toyota a décidé d'installer des caméras à bord de la Yaris WRC qui filment en permanence les bords des routes lors des spéciales. Ceci afin de rendre un clip vidéo à ceux qui souhaiteraient avoir un moment de leur présence au bord de la spéciale.

En effet, le système est simple : le spectateur prend une photo d'une des Yaris WRC lorsqu'elle passe, puis se rend dans un stand photo spécial baptisé "EchoCam" (du nom de la caméra installée dans l'auto). Le stand analyse le moment où est prise la photo et retrouve la séquence filmée par la voiture au même instant. Le spectateur peut alors récupérer une petite vidéo où il se voit au bord de la route en train d'immortaliser la Yaris WRC.

Toyota annonce que "l'emplacement des stands photo EchoCam sera précisé ultérieurement sur le site Echo_Cam et sur les comptes TOYOTA GAZOO Racing des réseaux sociaux".

Source Caradisiac
Toyota : améliorer l'atmosphérique plutôt que passer au turbo

C'est une décision à contre-sens de la tendance actuelle qui veut qu'il faut diminuer les cylindrées et coller des turbocompresseurs partout. Toyota USA explique en effet vouloir se concentrer avant tout à l'amélioration des moteurs atmosphériques. Avec une certaine réussite sur la dernière Camry.


[Image: S7-toyota-ameliorer-l-atmospherique-plut...161875.jpg]

THP, TFSI, TCE, TwinPower, toutes ces appellations un point commun nommé turbocompresseur. Mais pour Toyota, il n'est pas forcément question de passer à la suralimentation pour réduire les consommations et émissions de CO2. La marque japonaise explique en effet dépenser d'importantes sommes d'argent dans la recherche sur l'amélioration des moteurs thermiques atmosphériques, tout particulièrement aux Etats-Unis.

La dernière Camry, qui débarque ce mois-ci en concession au pays de l'oncle Sam, en est le parfait exemple. Toyota a choisi un quatre cylindres 2.5 essence qui a été au centre de l'attention des ingénieurs. Le constructeur japonais annonce un rendement de 40 %, ce qui nous paraît énorme compte tenu du fait que les rendements des moteurs thermiques se situent souvent plutôt entre 25 et 30 %, mais Toyota se justifie par un gros travail dans différents domaines : réduction des frictions, refroidissement et admission.

Ce qui est intéressant, au final, c'est de voir que Toyota annonce que ces grosses recherches faites sur les moteurs atmosphériques ne seront pas sans suite, la marque voulant "adopter la même approche sur d'autres blocs". Il n'est donc pas à exclure que les moteurs essence atmosphériques en Europe soient concernés à terme.

Source Caradisiac
Toyota : une boîte manuelle qui revient toute seule au point mort en roues libres

Toyota a déposé un brevet d'un contrôleur électronique au bureau américain des brevets qui intrigue. Il s'agit en effet d'un module qui contrôle le rapport engagé sur une boîte manuelle et permet de passer automatique au point mort dans certaines situations pour passer en roue libre. Une technologie déjà vue récemment, mais uniquement sur boîte automatique.

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Nos confrères américains de Motor1 ont relevé un dépôt de brevet assez intéressant au bureau américain des propriétés intellectuelles. Toyota a en effet publié un dossier sur une transmission manuelle très particulière, qui comprend un module électronique apparemment capable de contrôler à la fois l'embrayage mais aussi le levier de vitesse.

Concrètement, cette boîte manuelle serait capable de passer automatiquement au point mort dans les phases de roue libre (coasting), une solution technique que nous avons vu récemment sur la nouvelle Volkswagen Golf BlueMotion, à la différence que celle-ci utilise une boîte automatique. Il est en revanche difficile de dire si le passage au point mort se fait par un simple désaccouplement de l'embrayage ou bien si le module gère aussi le retour du levier de vitesses à la position neutre. Auquel cas cela pourrait se montrer quelque peu dangereux si le conducteur oublie de repasser sa vitesse en sortie de phase de "coasting". Il faudra avoir plus de détails sur le fonctionnement de cette hypothétique future nouveauté, bien entendu.

Ce serait donc la première fois qu'une boîte manuelle soit dotée de cette technologie. Toyota aurait même poussé le vice un peu plus loin en intégrant des blocages de rapports pour éviter que l'on engage le mauvais rapport après une sortie de phase de roue libre. Cela préviendrait aussi au passage de rétrograder trop tôt et de provoquer des sur régimes.

Le but est évident sur le papier : un gain en consommation. Mais il reste encore à savoir si Toyota introduira réellement cette technologie plus tard sur un véhicule de série.

Source Caradisiac
Toyota : une nouvelle gamme sportive en préparation

Toyota prépare la relève de la Supra qui pourrait être dévoilée en fin d'année au salon de Tokyo. La marque, plutôt timide chez les voitures sportives, serait aussi sur le point de dévoiler une toute nouvelle gamme spécifique de sportives, à l'image de "F" chez Lexus.


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Bon nombre de constructeurs, y compris généralistes, ont une gamme de sportives à part. Sauf Toyota, qui ne propose que le sympathique mais relativement timide coupé GT86 depuis quelques années. La marque nippone s'apprête malgré tout à relancer un mythe avec le retour de la Supra, probablement programmé pour le salon de Tokyo en fin d'année et qui pourrait, enfin, remettre le plaisir de conduite au centre du programme Toyota, très axé sur l'hybride.

Mais la Supra cacherait-elle d'autres modèles sportifs ? Selon la rumeur, Toyota s'apprêterait à dévoiler, à l'occasion d'un évènement spécial, une nouvelle gamme spécifique réservée aux autos telle que la GT86 ou la Supra.

Pour l'instant, tout ceci n'est pas très clair puisque Toyota dispose déjà de deux noms alloués aux sportives : GRMN (pour Gazoo Racing), qui s'occupe de la compétition et de modèles comme la Yaris limitée, et TRD (Toyota Racing Development), qui est la branche sportive de Toyota aux Etats-Unis, notamment pour les pièces performances.

Nous verrons donc d'ici la fin d'année si d'autres surprises, au delà de la Supra, sont à attendre du côté de Toyota.

Source Caradisiac
Toyota lance le nouveau label GR au Japon

Le géant japonais introduit sur ses terres une nouvelle gamme sportive baptisée GR. Celle-ci vient prendre la suite du label G's qui proposait jusque-là des versions plus excitantes de modèles standards.


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En s'inspirant de l'expérience de Gazoo Racing en compétition, ce nouveau label GR qui succède aux séries G's a pour ambition de développer l'esprit sportif des modèles Toyota par le biais de plusieurs formules. Ainsi, les versions GRMN sont réservées aux séries limitées et bénéficient d'une préparation complète avec un moteur plus puissant, les GR conservent l'essence de ces modèles spéciaux mais sont produites à grande échelle, et l'entrée de gamme GR Sport (ici en photo) regroupe des autos plus sobrement optimisées en vue d'une conduite sportive occasionnelle. A cela s'ajoute également les GR Parts, des pièces performance proposées séparément afin que chaque conducteur puisse goûter au plaisir de la personnalisation auto.

Depuis le 19 septembre, les premiers modèles japonais gratifiés de ce nouveau label sont les Vitz GR et GR Sport, ainsi que les Prius PHV, Harrier, Mark X, Voxy et Noah GR Sport. De manière générale, les autos concernées reçoivent de nouvelles suspensions, un châssis rigidifié par des points de soudure supplémentaires, des barres stabilisatrices spécifiques ou encore une apparence extérieure et intérieure plus sportive. Toyota annonce que la gamme des modèles GR sera complétée avec l'arrivée prochaine des Vitz GRMN (reprenant le 1,8L compresseur de la version européenne), 86 GR, Aqua GR Sport et Prius Alpha GR Sport.

Enfin, pour faire suite à l'introduction de la Yaris GRMN sous nos latitudes, Toyota prévoit à l'avenir de commercialiser hors du Japon d'autres modèles équipés du blason GR, un peu comme le fait Nissan avec ses variantes Nismo. Pour l'heure, nous ne connaissons pas encore le nom des véhicules concernés, mais cette annonce est d'ores et déjà une très bonne nouvelle pour tous les amateurs de Toyota au caractère sportif affirmé !

Pour plus d'informations (en anglais) et de photos, rendez-vous sur la page officielle Toyota :

http://newsroom.toyota.co.jp/en/detail/18651904

Source Autoworks Blog
Toyota veut reproduire le circuit du Nürburgring au Japon

Le même, mais plus compact.


Le troisième constructeur de voitures au monde va multiplier les investissements. Comme pour tous les principaux constructeurs, les nouveautés vont pleuvoir chez Toyota. La majorité de ces nouvelles nippones seront des électriques ou des hybrides, elles seront écoulées en Amérique, en Europe et en Inde.

Afin de mettre au point ses nouveautés, le constructeur japonnais projette de construire un complexe dédié à la recherche et au développement. Ce centre sera localisé à Aichi, au Japon. Selon le très informé Nikkei Asian Review, ce nouveau projet compte pas moins de 11 circuits différents, parmi lesquels, le très populaire Nürburgring.

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La Nordschleife (ou boucle Nord) est le passage obligé pour tous les constructeurs. En effet, avant la commercialisation d'un nouveau modèle, les constructeurs se ruent sur la boucle Nord afin d'éprouver et de mettre au point leur nouvelle voiture. Toyota a donc la merveilleuse idée de reproduire cette piste à échelle réduite. Ce circuit mesurerait 5,3 km alors que l'authentique Nordschleife est longue de 20,7 km. Bien qu'elle soit plus compacte, cette piste d'essai reproduira les dénivelés ainsi que certaines épingles afin que les ingénieurs puissent perfectionner les systèmes de direction et de freinage.

Le nouveau centre d'essais de Toyota pourrait être inauguré en 2023. Au total, ce sont pas moins de 3300 salariés qui travailleront dans ce complexe afin de mettre au point les futures voitures de Toyota. Selon Nikkei Asian Review, Toyota devrait investir plus de deux milliards d'euros pour que ce projet sorte de terre !

Source Motor1
J'adore l'idée Big Grin

Et en plus ça crée des emplois...
(25-02-2018, 11:02:37)vroomdams a écrit : [ -> ]Et en plus ça crée des emplois...

Ca je ne suis pas sûr que ça fasse partie des objectifs du projet. Je suis inscrit sur quelques groupes Facebook d'expatriés qui vivent au Japon et à chaque fois que ça parle boulot on a les mêmes réponses qui reviennent : le chômage est tellement bas au Japon que les entreprises peinent à trouver des candidats à l'embauche.
Genre du coup trouver du taf au Japon c'est fastoche? Oo
Quand tu es japonais oui. Un étranger aura plus de mal (déjà la barrière de la langue, et aussi parce que les japonais aiment bien les étrangers en touristes mais pas trop en expatriés). En tout cas c'est ce qui ressort des discutions avec les gens qui vivent là-bas.
(26-02-2018, 15:37:21)Nakago a écrit : [ -> ]Quand tu es japonais oui. Un étranger aura plus de mal (déjà la barrière de la langue, et aussi parce que les japonais aiment bien les étrangers en touristes mais pas trop en expatriés). En tout cas c'est ce qui ressort des discutions avec les gens qui vivent là-bas.

Si je peux me permettre de citer ma sœur, qui habite au Japon depuis 2013, bosse dans une entreprise locale sur Tokyo et est mariée à un japonais, c'est surtout que la législation est faite de telle façon que l'entreprise doit justifier qu'un détenteur de passeport japonais ne pourrait pas faire l'affaire pour le poste. Quand on considère qu'on ne peut avoir le passeport japonais qu'en étant né au Japon d'au moins un parent japonais, ça complique les choses quand on est français.
Pas mal de pays sont comme ça, ça se détourne facilement...

Quoiqu'avec le Japon ça doit être plus carré : /.
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